Coronavirus, Ukraine, climat… La dernière mandature européenne a dû composer avec de nombreuses crises. Elle a, sans doute, par la même, renforcé la puissance de l’Union.
Le président Zelensky souhaiterait être autorisé à employer les armes européennes pour frapper les bases russes d'où sont lancés les missiles qui frappent le territoire ukrainien.
Dans un marché commun où les capitaux sont mobiles, ne pas avoir de règles communes de fiscalité génère une concurrence entre partenaires. Des revenus sont pourtant recherchés en parallèle.
Les PFAS sont dans le viseur du législateur. Mais il y a un verrou : il ne s’agit pas seulement de surveiller une poignée de composés connus, mais de considérer des millions de molécules différentes.
L’inflation alimentaire s’explique par les évolutions du prix du pétrole, par les événements géopolitiques mais aussi par les fluctuations des taux de change. En la matière, l’euro semble protecteur.
Le grand parti de droite allemand est en tête des sondages pour les européennes, devançant l’AfD… au prix d’une droitisation de son discours, notamment sur la question migratoire.
La « souveraineté économique », difficile d’être contre mais qu’est-ce que cela veut dire ? Est-ce synonyme de « patriotisme économique » ? Est-ce favoriser des champions nationaux ? Autre chose ?
Le mandat d’Ursula von der Leyen a été marqué par une nette volonté de faire de l’UE un acteur géopolitique à part entière. Une ambition qui s’est heurtée à de nombreux obstacles.
Les élections européennes sont un moment important dans l’exercice par les citoyens de l’UE d’une citoyenneté collective dont ils n’ont pas vraiment conscience.
Depuis son retour au pouvoir en octobre, Robert Fico avait entamé ce que ses adversaires qualifient de tournant illibéral. Qu’il reprenne son poste ou non, ce tournant va sans doute se confirmer.
Le 9 juin, parallèlement aux élections européennes, la Bulgarie organisera des législatives, les sixièmes en trois ans. La lassitude de la population est palpable.
À la veille des élections européennes, le pouvoir d’achat et l’immigration sont au cœur des débats, annonçant une percée de l’extrême droite qui se capitalise sur ces dossiers épineux.
Après des années de subtil jeu d’équilibre entre la Russie et l’Occident, le pouvoir de Tbilissi semble avoir tranché en faveur de Moscou. Une trajectoire que la population conteste avec force.
L’adhésion de l’Autriche, de la Finlande et de la Suède en 1995 s’explique en bonne partie par l’effondrement du bloc soviétique quelques années plus tôt.